La recherche

permet de faire le lien entre les trois axes d’activités de l’association, avec comme objectifs l’organisation du travail, le management du travail, l’aménagement de l’espace et des relations selon le type d’entreprises concernées (production ou service), les procédures d’intégration et la prise en compte des différences.

L’analyse de diverses questions de société en lien avec le travail en fonction des échelles locale, nationale et internationale, ainsi que les enjeux sur l’organisation de l’entreprise.

De nouveaux modèles d’entreprises qui permettent de fonctionner avec différentes sources de financement (étatique, privé ou autres) et des réalités individuelles spécifiques, demandant une organisation du travail avec des critères différenciés.

Une analyse à partir du cadre légal ; identifier les problématiques que cela soulève dans la relation entre employeur et employé-e.
La publication de ses propres recherches afin de diffuser des outils de formation et d’analyse aux différents acteurs du marché de l’emploi.

Aujourd’hui, pour des gens très compétents qui ont fait toute leur vie dans une profession qu’ils maîtrisent complètement, même à partir de quarante-cinq ans, cela peut devenir très compliqué de retrouver des places de travail. Et je ne parle pas d’histoires de reconversion. Ce n’est pas l’âge qui est une limite, ce sont la société, le système, les gens.

Ce qui est important dans une entreprise, c’est de réintégrer la réflexion sur l’organisation du travail.

Il n’y avait quasiment pas de reconnaissance dans l’entreprise où je travaillais. Tu es père et puis point, voilà. Tu reviens et tu bosses comme avant. Il n’y avait pas d’aménagement.

Quand on m’a licencié, je me suis retrouvé au chômage, puis au service social, ce qui m’a achevé. Ce n’était pas une vie, simplement de la survie. Les tentatives de recyclage qui ont suivies n’ont mené à rien.

Les problèmes de communication ne sont jamais la faute à personne, en soi, mais quand on ne peut plus discuter et essayer de méta-communiquer pour dire : « J’ai un problème, j’essaie de te dire, je cherche une solution… », on finit par partir.

Aux ressources humaines, ils m’ont dit : « Ce n’est pas à vos collègues de porter votre maladie. »